Les larmes silencieuses

Les larmes silencieuses
Ô tristesse douloureuse
Coulent sur les joues
Des amoureux fous

Les corps enlacés
Se taisent pour se parler
Pour enfin chasser
La peur des blessés

Parler d’amour
Un jour
Parler des peurs
Sans heurts

Les corps tremblent
Se rassemblent
Les yeux se ferment
Résonnent les je t’aime

Puis la nuit cède sa place
Le rêve s’efface
Le jour paraît
Et reprend l’éternel ballet

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